Nom: écrire ici Prénom(s) : Karah Age : 19 ans Provenance de l'avatar : Lance - Voltron the Legendary defender

tu vas écrire ton physique, n'oublie rien, sinon on mords

Karah adore rire, parfois c'est à ses dépends. L'auto-dérision est son quotidien. Si bien qu'il lui arrive de perdre le moral. Il dira assez peu quand il est au plus bas moralement. Il préfère garder le sourire et avancer dans la bonne humeur. Franchement têtu, il est du genre à persévérer pour accomplir quelque chose. Il est capable de recommencer une cinquantaine de fois une action juste pour réussir une seule fois. C'est souvent les autres qui le stoppe en l'attachant. Il aime avoir raison, cependant face à des bons arguments, il plie. Observateur, il sera du genre au fil des rencontre à de moins en moins parler pour observer. Il a un assez bon instinct pour ce qui est des gens. Bien que ce dernier se trompe parfois. Curieux modéré, il teste des nouvelles choses si on l'y intéresse. Il peut être doué ou non. Mais tant qu'il ne parvient pas à un résultat potable selon lui... Il ne s'arrêtera pas. Il adore l'eau, si bien qu'il se passe rarement un jour sans qu'il se balade sur la plage ou pêche tranquillement à son post favori. Il rêve souvent d'être un poisson. Ceux qu'il voit lors de ses balades. Des petits colorés comme ils les aiment tant. Paradoxalement, il a une peur bleue de l'orage. Si bien qu'il se cache quand cela arrive. Il tremble de tout son être et pleure. Il rêve de voyager longtemps sur la mer, peut-être voir d'autres îles qui sait. Mais il semble bien moins à l'aise sur une embarcation que l'eau elle-même. Il respecte les gens tant qu'ils ne font pas de mal à l'eau et la nature. Couper un arbre devant lui n'est simplement pas conseillé. Il sait qu'il y a d'autres gens et que certains viennent à peine de débarquer. Il garde ces yeux ouverts face à leur action. Il les juge et va peut-être les critiquer. Mais il restera souriant. Ce qui est problématique quand on veut faire culpabiliser son interlocuteur. Un poil naïf : Il connait que peu de chose de la vie, il garde une certaine candeur qui peut attendrir ou non. Pour lui, l'amour ça se limite aux calins et aux bisous. Sociable dans un certain sens, il s'attache assez vitre aux gens et les considèrent rapidement pour des personnes importantes.

Karah ne sait pas vraiment tout ce qui s’est passé lors de sa naissance. Même ses parents étaient un peu évasifs face à cet événement. Tout ce qu’il savait, c’était qu’il était arrivé pendant que les étoiles parcouraient le ciel sombre, un jour plutôt clément. Il ne se souvenait pas de son premier ouragan, trop jeune pour saisir le tout sûrement. Ses premiers souvenirs sont plutôt clairs, il se voit encore petit garçon en train de ramasser les coquillages sur la plage. L’eau chatouillant ses pieds. Il avait trouvé cet endroit beau, vraiment beau. Si bien qu’il eût parlé avec vitesse à sa mère. Cette dernière avait fini par rire avant de lui demander d’approcher. Il s’était sûrement sali lors de son exploration. « Tu as été un petit aventurier aujourd’hui Karah. - Je voulais te faire un collier maman, je sais que tu adores les coquillages. Comme celui sur ton collier. - C’est bien gentil à toi. Mais tu devrais faire attention, l’ouragan est proche. - Je n’ai pas peur. » Elle avait frotté avec force ces cheveux. Elle lui raconta un moment comment il avait fait ses premiers pas. Comment son père avait fini par lui courir après quelques semaines après. Cette histoire le faisait rire. Son père était si grand, comment un petit garçon comme lui avait pu distancer un adulte comme ça. Sa mère lui disait souvent qu’il avait profité de sa taille pour aller dans des endroits étroits. « Maman, tu crois que je pourrais encore distancer Papa ? - Sûrement, tu es sacrément malin parfois. Mon petit garçon est un aventurier espiègle. - Cela veut dire quoi espiègle ? » Et la suite, il s’en souvenait à peine. Mais tout ce souvenir avait le don de le faire sourire. C’était un de ces moments précieux avec sa famille. Ceux avant l’arrivée de ton frère. Ton petit frère que l’ouragan avait fini par lui enlever. Il revoyait clairement la scène. L’ouragan était puissant, si puissant. Et le jeune aîné qu’il état avait tenu du mieux qu’il le pouvait le corps de petit garçon fragile. Sa mère et son père occupé à mettre tout à l’abri l’avait laissé faire. Heureux que la jalousie qui habitait le jeune garçon avait cessé. Il serrait contre lui le petit être. « Tu n’as pas intérêt à partir. Maman et Papa t’aiment beaucoup. » Son petit frère avait babillé quelque chose. Il n’avait pas compris ce que le très petit garçon disait. Sûrement quelque chose sans aucun sens. Sa mère disait souvent que lui aussi avait dit des choses bizarres comme lui. « Tu sais, je peux t’apprendre à parler correctement. Répète après moi. Maman. - Gah ! » Karah n’eut pas le temps de corriger le jeune garçon. Car le vent se fit puissant. Si fort qu’il se sentait presque décoller du sol. Il ne devait pas laisser l’ouragan gagner. Il avait si peur. Si peur. Quand il sentit le temps se calmer, il voulut voir ses parents. Sauf que ça fut le geste de trop. La végétation fragilisé finit par tomber faisant un bruit semblable au tonerre, griffant son petit torse, arrachant de ses bars la jeune vie qu’il tenait. « Tifo ! Tu es où ? » Ses parents n’allaient pas lui pardonné. La peur emportait sur la douleur de ses blessures. Il prit un moment à rejoindre un autre lieu. Ce dernier était en bazar. Peut-être que Tifo était là. Il l’espérait. Il souleva du mieux qu’il le pouvait les débris éparpillés. Mais tout ce qu’il trouvait, c’était le sang, celui qui coulait sans le savoir lui. Si bien qu’il finît par s’évanouir. Tifo… Il n’avait pas été un bon frère. Il ne l’avait pas protégé. Il s’en voulait un peu. Quand Karah retrouvait ses esprits, il vit son père seul. Il avait les traits tirés. Il ne savait pas pourquoi il avait cette tête. « Papa ? - Fiston… Tifo… L’ouragan te l’a pris…. Désolé mon fils. Désolé de t’avoir demandé de le garder… - Papa, tu pleures… » Karah regardait cet homme qui avait été son modèle s’effrondrer. N’écoutant que son courage, il le serra contre lui en souriant. « Je suis là et tu ne risques pas de me perdre. Enfin, je crois… Je suis un petit garçon, et je ferai encore des bêtises. » L’adulte lui frotta les cheveux. « Tu es vraiment un polisson. Tu tiens ça de ta mère. - Maman va bien ? - Elle est partie aider les gens autour d’elle... » Le jeune garçon se leva et prit la main de son père. Il devait rassembler les deux adultes. Il était triste, il était sûr de pleurer dès l’instant où il lâcherait la main de son père. Et cela ne rata pas. Dès que les deux adultes l’avaient lâché, il s’était effondré. Ce petit être avait fini par faire une place dans son cœur. Jamais il oubliera ce moment. Cette peine qui le traversait étant petit, plus visible de celle de ses parents. Marquant ses joues horriblement. La perte de son frère l’a calmé dans ses envies d’exploration. Par contre, il adorait regarder la mer. La mer qui le berçait doucement. Vidant ses pensées et finissait par le faire sourire. Les mois passèrent et la peine diminua. Karah restait un garçon très actif. Mais bien plus prudent. Il adorait faire rire. Il s’était donné le devoir de faire rire son père. Trop sérieux pour lui. Alors, il enchaînait les blagues plus ou moins comique. C’était un jeune garçon, donc ces jeux de mots étaient limités. Pourtant, un d’entre eux fit rire cet adulte qu’il admirait. C’était une histoire de noix de coco dont il était plutôt fier. Après son succès, il n’a cessé de casser les pieds son entourage avec cette histoire. Ils sont rares les gens qui connaissent Karah qui ignore ce récit qui se voulait drôle. Karah grandissait plutôt bien, quand il avait treize ouragans, il avait tenté de grimper, sans grand succès à un palmier. Le jeune garçon avait tellement insisté qu’il avait fini par rendre ses pieds rouges de sang et que son père avait caché ses pieds dans des bandages en grognant. Suite à cet événement, il n’a cessé d’essayer de trouver quelque chose dans lequel il était doué. Il savait pêcher, mais dans une embarcation. Il est tombé tellement de fois dans l’eau qu’il avait fini par râler sur la plage, attaché par son père qui en avait assez de le voir tomber dans l’eau. Il a essayé de faire d’autres choses, mais apparemment, il était plutôt doué de ses mains. Il sculpte avec un petit couteau. Au début, son papa le surveillait, maintenant, il le laisse seul. Enfin, quand il ne tente pas d’incruster des pierres dans ses œuvres originales. Ce qui était dangereux. Ne jamais lui mettre dans la tête que c'est une bonne idée... Jamais. Un jour, il y a eu cet ouragan particulièrement fort. Cet ouragan qui a amené avec lui des personnes différentes. Très différentes. Elles étaient là depuis combien de temps ? Il n’en savait pas plus que ça. Il les avait jamais avant ses quinze ouragans. Peut-être à cause de la fin de ses explorations. Karah les observait de loin, pestant sur les sauvages qui abattait les arbres. Comme si l’ouragan n’était pas suffisant… Il s’approcha de l’un d’entre eux en grognant. « Cessez de maltraiter la nature. - Super un écolo… Fiche-moi la paix gamin. - Le jour où l’ouragan te prendra à cause de toi. Tu pourras que t’en prendre à toi-même. » Il avait haussé les épaules et s’éloignait du jeune homme qui ne cessait d’argumenter pour convaincre cet étranger. Sans grand succès. Car ce dernier agacé avait fini par lui envoyer une noix de coco en pleine figure. Passablement assommé, l’homme était parti. Laissant Karah tout seul. C’est son père qu’il vit en premier après son réveil. Il passait de l’eau sur ses blessures. « Qu’es que tu as fait ? - Je voulais défendre la nature. Un étranger la détruit. - Heureusement certains sont gentils. Sans ce drôle d’animal ne serait pas si heureuse. - Je continue à penser qu’il très moche... » Son père lui frotta les cheveux. Un étranger avait laissé à sa maman un drôle d’animal qu’il n’avait jamais vu avant. Depuis, elle semblait heureuse à nouveau. La disparation de Tifo sûrement dans un coin de sa mémoire. Cette chose qui enloignait sa mère de lui encore et toujours. Son petit frère... Il lui aurait raconté l’histoire de la noix de coco. Il lui aurait appris à sculpter. Et peut-être montrer son coin de pêche. Peut-être. Mais il n’était plus là. C’était trop tard pour regretter. Il préférait garder son sourire. Son sourire qui a plus à beaucoup de personnes. Y compris à ses personnes qu’il observait de loin. Ces personnes qu’il ne pouvait s’empêcher d’admirer et c’est d ‘ailleurs l’une d’elle qui lui ont offert un collier. Ce collier dont il avait un mal fou à se défaire. En dépit de sa longueur plus que gênante. Mais refuser un cadeau, ça ne se refusait pas ? Il a rit et montré à cette personne qu’il était beau avec. Et c’est un peu ainsi qu’il a eu sa première amoureuse… Il a eu d’autres compagnons et compagnes, mais jamais ça ne durai. Il en était triste au début, maintenant, il s’y est fait. Il a compris plus tard que ça pouvait être ça l’amour. Ou l’obsession. Mais que trop, c’était tout sauf bon. Car ça finissait souvent mal. Pour lui ou pour cette personne. Depuis Karah est un plus prudent face aux gens qu’il observe. Il s’est promis de moins tomber amoureux. Enfin, il l’espère. Peut-être qu’avec l’âge ça partirait. Il suffisait de voir les anciens. Ils étaient bien seuls non ? Ou il se trompait. Il a beau savoir des choses, il ignorait aussi pas mal d’entre elles. Il y a d’autres moments avec les voyageurs, d’un naturel peu timide, mais méfiant. Karah a toujours fait en sorte d’être plus ou moins en bon terme avec ces gens avec ces cultures étranges. Il se souvenait parfaitement de ce gars complètement dingue qui voulait absolument une créature des plus étrange en sculpture en bois. Plus il décrivait la créature, plus Karah se demandait si quelque chose du genre existe. Il pouvait être sûr et certain de ses doutes. Il sculptait pour le plaisir, mais aussi pour avoir de quoi vivre un peu près correctement sans l’aide de son père. On lui dit parfois qu’il comptait trop sur cet homme. Pour sa mère ? Il n’arrive plus vraiment à l’atteindre. Elle est trop triste. Ou partie en vadrouille. Le jeune homme est un peu attristé de ça, mais les rires qu’il partage avec les autres lui valent toutes les richesses du monde. C’est pour ça qu’il fait parfois le clown, ou balance ces blagues qu’il trouve très drôle. Quand il est attaché à une personne, il lui arrive régulièrement de sculpter quelque chose pour cette personne de façon totalement désintéressé. Son style d’œuvre plaît ou non. Entre le sauvage et le réalisme. Karah passe des heures à peaufiner les détails, à tel point qu’il s’abîme régulièrement les yeux quand l’obscurité vient doucement couvrir le ciel de sa couverture sombre. Ne voulant pas se couper, il finit par s’arrêter, un peu frustré. Karah est quelqu’un de simple qui vit pour tester des choses inconnues dans la mesure où on titille sa curiosité. Parfois exagérant un peu. Il vit depuis quelque temps dans sa propre cabane, proche de celle de son père. L’artiste y est particulièrement attaché. Il espère que le prochain ouragan ne lui enlèvera pas son seul repère fixe. Il l’espère. Il demande aux divinités de ces lieux de protéger cet homme qui fait beaucoup pour lui. L’ouragan finira toujours par revenir. Il revient toujours, aimant ces terres, comme lui, il aime l’eau.

Nom: Karasuza Prénom(s) : Jin Age : 25 ans Rôle : Mafieux (gardien du nuage) Provenance de l'avatar : Tomioka Giyu - Demon Slayer

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Ne parle pas beaucoup, sauf quand c'est nécessaire : Jin est plutôt avare en mot, sauf quand on lui parle de certaines choses comme le café, le thé et les katanas. Curieux : Bien qu'il cache ce côté de lui, il est l’affût du moindre murmure possible sur les familles mafieuse. Il ne cherche pas particulièrement en intégré une. Perfectionniste : Il aime les choses bien faites, il est capable de recommencer quelque chose si on lui dit que c'est mal fait. Il est très exigeant avec lui-même. Il tolère assez peu les erreurs. Calme en général : Peu de choses l'énerve, sauf peut-être le manque de respect. Très à cheval sur ses principes : Jin a des concepts très arrêté sur un tas de choses, il respecte les codes que lui a donné son éducation et la vie de mafieux. Professionnel : Que ça soit son boulot de Barman ou de mercenaire, il fait toujours du boulot impeccable, mais c'est raccord avec son perfectionnisme. Fier : Il a des capacité en combat et le sait. Il connait ses limites et fais tout pour les repousser. Il acceptera peu la défaite. On peut le dire, il est un peu mauvais perdant. Adorateur de café et de thé : Il en a toutes une collection qu'il sert ou non aux gens. Il y fait très gaffe. Un peu parano : Il ne laissera presque pas de trace de lui. en tant que mercenaire, il fait très attention.

Jin ne se souvient que très mal de son enfance, il a toujours été entouré de temple et de touristes qui faisait la queue. Il avait peu d’amis et s’en contentait. Il n’avait pas de problème avec les groupes en particulier. Il les préférait pas trop nombreux car à force, il s’emmelait dans les prénoms. Et ce n’était ps très sympa de se tromper de prénom quand on est censé avoir un lien d’amitié. Gardant cette idée, le jeune garçon s’est éloigné de ce qui faisait une personne normale au regard de la société. Sa mère était désespéré que son son enfant agisse de la sorte. « Tu dois faire plus d’effort, s’il te plaît. - Pourquoi je devrai le faire ? Je n’arrive pas à retenir tout ces prénoms. J’ai l’impression que si j’oublie, je serai un bien mauvais ami. Puis je n’aime pas tous les jeux qu’il font. - Tu l’as déjà dit ? - Il m’aurait écouter peut-être ? Je suis plus petit qu’eux. » Sa mère a frotté sa tête et a tenté de le rassurer en lui disant qu’il finirait par grandir. Que Kyoto n’était peut-être pas le lieu idéal pour lui. « Il ne faut pas partir pour moi. J’apprendrai à m’ouvrir. Je retiendrai toutes ces noms. Par contre, peut-être plus tard, si vous le souhaitez vraiment. Il faudra que ça soit pour une bonne raison. Une très bonne raison. - Hum, on verra, mais tu devra t’y faire. » Jin avait haussé les épaules et fini par suivre sa famille dans la ville de Namimori. Au début, il n’aimait pas cette ville, elle manquait de temples. Il en trouva quelques uns, bien sûr, quand on cherche quelque chose, on la trouve. Curieux comme il était, il a traîné dans des ruelles parfois étranges où les adultes semblaient être particulièrement moches. Il les a regardé puis était parti, il n’avait pas à supporter une laideur pareille. Il était encore un enfant, donc pas assez grand pour dire à ces types la vérité. En tant qu’élève de Namori, Jin était relativement calme. Il participait de manière discrète aux activités de ses classes. Même si son côté froid pouvait plaire aux demoiselles, il avait d’autres choses en tête que de compter fleurette. Adolescent, ce n’était pas mieux, il s’était mis à fumer pas pour frimer. Il avait voulu calmer son envie irrésistible de dire les vérités qui lui brûlait la gorge. Ces vérités qu’il a toujours tue dans le plus profond de son être. Ces mots finiraient par filtrer de ses lippes trop souvent closes. Silencieux comme il était, il n’avait aucune raison à part sa fierté pour parler. Il s’était inscrit au club de Kendo par ce qu’il aimait bien cet univers et les règles de ce genre de combat. Il avait l’impression d’être une sorte de samouraï. Il n’était pas naïf, son capitaine était un sale con. Un abruti qui se servait de sa place pour s’accaparer les filles qui étaient adulés par l’école. Pas par lui, il la trouvait tellement stupide. Mais il n’avait rien dit, il était trop concentré dans sa pratique du shinai. Il était très investi, au point qu’on lui avait déjà demandé de remplacer l’autre con et sa clique. Lentement et sûrement, Jin s’était approché des Mafieux de la zone quand il sortait des cours, les mafieux locaux. Ces types pas toujours des plus jolis faisait en partie de ce monde. Il avait vite compris que la vérité pouvait être dangereuse à dire. Ce qui ne l’empêchait pas de penser que ces types n’étaient pas beau. Un jour, alors qu’il avait dix-huit ans, il lâcha à un type que ce n’était pas la peine de se cacher sous une tonne de tatouages, il était moche. Résultat des courses, le jeune homme s’était retrouvé avec une cicatrice sur le long de son dos. Honte à lui, le bretteur qu’il était. Car il apprenait avec un vrai katana depuis son entrée dans ce monde de l’ombre. Il était si fier de tenir l’arme qu’avais utilisé peut-être ses ancêtres. Il avait appris, de part ses contacts qu'un certain Tsuna avait disparu. Bien que le nom lui disait quelque chose, il semblait que cette personne avait fait un sacré chahut dans l'école. Ce garçon avait été important pour le monde de l'ombre. Il avait fini par se dire que garçon avait peut-être trop changé ce monde ou voulu le changer. Il en savait pas plu que ça. Malgré sa curiosité grandissante pour ce sujet qui partait dans des hypothèses farfelues. Tandis qu’il prenait de l’âge doucement, Jin apprenait à se détacher un peu de ce monde remplis de tatouage sans pour autant totalement le quitter. Car ce monde avait donné des choses précieuse à ses yeux. Un moyen de ne se pas se préoccuper d’une centaine de noms, juste des anonymes qu’il éliminait de sa lame. Il se souvient de son premier meurtre, oui, il avait tremblé, mais il avait été un peu soulagé d’avoir réussi. Il avait fini par revenir assez fier de lui. Il avait réussi une mission que lui avait confié son chef et n’avait pas laissé trop traces. Bon, quelques unes quand même, il était un débutant à l’époque. Heureusement, il apprenait assez bien les bases qu'il fallait pour devenir un bon mercenaire. Maintenant, il était un barman dans un petit bistro, il était payé presque rien, c’était aussi pour ça qu’il avait un autre travail plus lucratif. L’argent serait un peu comme son salut pour obtenir une sorte de paix. Un endroit pour vivre de sa passion pour les katanas. Malgré que Jin aimait tout de même le café e le thé, ces boissons sans alcool qu’il servait que rarement. Rare et précieuses consommations dont il avait aucune difficulté à retenir le nom. Ses rares liens ont d'ailleurs une boisson attribuée.

Nom: Manako Prénom(s) : Saphire Age : 16 ans Rôle : Gang (ciel) Provenance de l'avatar : Hiragi-Shinoa Version : Version deux Saphire Maeda

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La jeune fille ramasse une chaussette verte et sourit. Elle découpe des dents dans une feuille qui traîne, faisant fit qu’il s’agissait d’une feuille lignée qu’elle utilisait en cours. Elle enfile la chaussette sur son bras droit avec un fin sourire. Elle colle la dent et fait des yeux rapidement avec un marqueur noir. Indélébile. Donc une douce odeur se dégage. Ou pas. Elle sourit. « Lia, comment vas-tu ? - Tu viens de me créer avec une chaussette puante ? Comment veux-tu que je me sente ? - Fromage, je dirais deux ans d’âge. - Tu te crois maligne à me taquiner ? Je ne suis qu’un vêtement oublié. T’en prendre à moi, tu es bien cruelle. - Mon dieu, mais dis-moi... Qu'est que tu sais de moi. - Bon, si c’est moi qui dois m’y coller soit… Mais tu me laisseras la vie sauve ? - Peut-être… - Rassurant, Bon, premièrement, tu aimes faire ce que tu veux et dire n’importe quoi. - Je ne dis pas n’importe quoi ! - Tu me laisses parler ou tu vas m’interrompre toutes les cinq secondes ? » Elle hausse l’autre main en signe de reddition à sa marionnette dont elle prêtait sa voix de ventriloque. « Comme je disais, elle est chiante, elle taquine pour un oui ou un non. En plus, ses phrases sont fantasques. Elle est loin d’être totalement bête, elle est même douée dans un certain sens. Si ça l’amuse de répondre à côté, elle le fera. Ses parents lui parfois dessus, mais les écoute t-elle ? Bonne question, ça dépends, mais généralement, elle fait qu’ils demandent. Le résultat dépendre de son implication. Malgré son côté grand enfant, elle sait être sérieuse. Mais ne l’ayant pas vu encore. Je ne peux que croire mon impression. Peut-être que je me trompe. Elle est un mystère à elle seule. Ou pas. Par contre, je dois dire qu’elle a un bon sens de l’orientation. Elle a beau être dans la ville, il y a peu, elle a trouvé rapidement les commerces qui l’intéressaient. Elle aime porter des vêtements mignons, comme le prouve le ruban qu’elle a dans ses cheveux. Ils sont naturellement violets ? - Lia, je ne vais pas révéler mon secret maintenant. - Tu penses à quel secret précisément ? Car tu en as un tas. La vérité, tu connais ce concept, ou c’est un pokémon rare Shiny ? - Je sais dire le vrai et le faux, mais reste à savoir quand je passe de l’un à l’autre. - Avec ton visage, parfois, c’est difficile à croire. Tu as des amis ? - Oh, quelques-uns, mais tous ne sont pas là. D’autres ont rejoint les cieux. Je vous aimais… - C’est ça, et mon derrière, c’est du cent pourcent coton. - J’ai ramassé une chaussette de qualité, on dirait. - Comme vous pouvez voir, elle est un peu lunatique, folle, je dirai même. Mais je dois dire qu’elle prend soin de ses affaires. On se demande comment tu m’a trouvé d’ailleurs. - Papa a laissé traîner ses affaires… - Il est au courant qu’il risque de se prendre les pieds dans ses affaires à force ? - Mais c’est pour ça que je range ? Je n’ai pas envie qu’il se blesse mon petit papa. - Pour être petit, il l’est. Mais tu es protectrice. Voilà qui me surprends. En plus de savoir ranger. - J’ai un cœur, je ne suis pas un monstre. Et ranger, je le fais de façon pratique... - Contente de l’apprendre. Donc tu es créative, si j’en juge ma naissance. - Oui, tu es mon douzième enfant. Je te présenterai à tes frères et sœur. - Oh par les crocs de Schnapi. - Deisne kleine Krokodile ! - Non stop… - Bah quoi ? - Tu vas la mettre en tête... » Les minutes suivantes la jeune fille chante en allemand la chanson à chaussette qui semble se tordre de douleur. C’est clairement amusant pour elle de faire semblant que la chaussette vivait vraiment. Certains diront qu’elle n’a pas la lumière à tous les étages, mais elle est surtout elle-même n’en déplaise aux gens. En classe ? Elle se révélera soit géniale ou un cancre.

Il était une fois, un petit être né il y a de ça des années. Dans la préfecture Shimane au grand bonheur de sa famille. Elle était attendue. Pour sûr, ces parents avaient tenté diverses manières de la concevoir. Mais une bonne fée a fini par se pencher sur leur couple pour leur offrir un enfant. Une âme qui déjà riait aux premières minutes de sa vie. « Comment on la nomme ? - Sakura ? - Non, je préfère Saphire, ça me rappelle ces jolies pierres précieuses. - Comme tu veux ma chérie. C’est ainsi que les deux adultes étaient tombés d’accord sur le prénom. La mère de cette jeune âme avait toujours aimé la culture française, du coup, elle avait fait en sorte qu’un peu de ce pays lointain se retrouve un peu dans son enfant. Même si pour ça, elle devait un peu oublier les traditions du Japon. Si bien, c’est à six ans que la jeune demoiselle mis pour la première fois dans un Matsuri. Le festival était beau, vraiment beau pour la petite fille, elle voulait tout essayer, tout tester. Si bien qu’elle a dû s’arrêter à la moitié de l’allée sur un banc. La nourriture était bonne, les jeux étaient particuliers. Qui avait eu l’idée d’attraper un poisson avec une cuillère de papier. Tout ça pour avoir la chance de ramener un de ces animaux chez soi. La jeune fille aurait bien voulu parvenir à ramener un animal. Mais pas sûr que ses parents soient ravis. Par contre, son père lui offrit quelque chose. Un objet qui aujourd’hui dans la chambre de la jeune femme à en devenir est suspendu au mur. Il s’agit d’un masque qui représentait un Kitsune. Est-elle devenue pour autant fanatique des renards ? Oui et non. Si elle devait citer une créature préférée. Ça serait le chat. Mais nous nous égarons. Non, je ne parle pas de voiture, Saphire, pas besoin de demander à se pauvre homme de dégager sa voiture. Je te vois avec ce sourire… Saphire ! Reprenons… En tant que japonaise élevé à l’Européenne, elle a été souvent perdue dans ce qu’elle devait faire ou non. Son école disait que c’était mieux de garder une distance avec les gens. Ne pas être tactile. Son éducation disait que faire la bise n’était pas mal. Pareil pour les câlins. Ce qui fait que la jeune femme s’est retrouvé plus d’une fois avec des punitions parce qu’elle avait fini par attraper un peu trop ses camarades de classe. S’était-elle calmé aujourd’hui ? Ça reste à prouver. Certains diront que oui, elle parle bien. Quand elle ne te taquine pas du moins. Et elle ne touche personne, enfin ce n’est pas ce que raconte son strap. Mais ça, c’est une autre histoire. Elle a vécu une bonne période dans la préfecture de Shimane, ce qu’elle préférait, c’était le tapis de fleurs. Combien de fois avait-elle pris le bus pour observer ce tapis de fleurs qui s’entendait sur de longs mettre. Il y avait bien aussi quelques temples et endroit typique que les rares touristes visitais la région. Mais l’endroit n’était pas hyper prisé de base. C’est ce qui faisait sûrement son charme. Pourtant vint le jour, où sa vie presque tranquille, changea, le jour maudit. Celui du déménagement. Voir les bâtiments, manger des croissants, ça avait un prix. Et celui fini par toucher les pauvres économies des parents de la demoiselle. Comment était-ce possible. Son père fume t-il ? Si oui, elle aurait dit la moquette. Mais sinon, parfois des pieds. Ce qui explique pourquoi Lia pue un peu. Mais elle aime bien Lia, c’est troisième chaussette favorite, après Elizabeth et Yoseph. Elizabeth et sa première marionnette fait à partir de chaussette. C’était une rose avec des fleurs. Yoseph, c’est une chaussette à sa maman. En vérité, c’est un reste de collant, mais la jeune fille qu’elle était à l’époque s’était attaché à ce collant détruit par le temps et les accident divers et varié. Bref Yoseph a du vécu. C’est ce qui fait son charme. Son père avait eu l’intention de faire de Namimori son nouveau point de départ. Pourquoi ? Elle lui avait posé la question, mais elle a oublié. Peut-être, c’était à cause de son entreprise. Mais il vendait quoi au juste son papa. Attendez deux minutes. Ça être simple à raconter. Pour être précis. Son papa travaille comme vendeur dans un magasin. Un combini, non, ce n’est pas ça. Un magasin de farce et attrapes, tu parles, elle aurait fini pour prendre des articles comme ça, juste pour rire. Il travaillait dans un magasin d’antiquité. C’est un peu la loose. Mais elle aimait parfois, elle emporte une poupée parce qu’elles sont un poil creepy. Parlons de Namimori et de ses groupes de l’ombre. Comment-elle rentré dans ce monde. Parce qu’elle trouve ça amusant. Et puis au moins, elle était un peu plus au courant de ce qui se passait en ville. Les secrets pouvaient se reposer, mais il y avait toujours des yeux et des oreilles pour les connaître. Saphire voulait en faire partie, parce qu’avec de bonnes informations, elle pourrait s’amuser encore plus. Certains diront qu’elle cessé de grandir ou de mûrir. Va savoir. Oh, elle est parfois sérieuse, mais peu de personnes l’ont vu. Bon, il y a sa famille, mais ça compte pas vraiment. Ils l’ont vu grandir physiquement et aussi prendre ce chemin. La seule chose qu’il demandait en retour ce qu’elle soit heureuse et qu’elle ai un métier qui rapporte. Pour le deuxième pan, elle a encore du temps. Puis son travail comme livreuse est sympa. Elle peut parfois manger à l’œil. Elle livre comment ? À bicyclette, pardi ! Elle avait trouvé ce travail au hasard en se baladant en ville. Depuis, elle se balade souvent en ville avec son vélo et le sac de l’entreprise qui lui sert d’excuse pour partir à l’aventure des ruelles… La rentrée a eu son lot d’éventements, curieuse, elle a regardé ça avec un intérêt certain. Elle ne sait pas ce qu’est cette magie pour se retrouver à moitié nu, mais elle trouve ça comique. Si ça lui arrive, au moins, elle serait magnifique. Elle porte de joli ensemble en dentelle. Elle est sexy avec non ? Vous ne pensez pas ? Roulade arrière

Nom: / Prénom(s) : Alsin Age : 16 ans Rôle : Clerc Provenance de l'avatar : Shiroe - Log Horizon Version : une

tu vas écrire ton physique, n'oublie rien, sinon on mords

Il a vécu un moment en tant qu'ermite, si bien que les relation sociales ne sont pas son fort. Il rencontre le groupe lors de sa descente de sa montagne.

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Nom: Saeda Prénom(s) : Naoki Age : 16 ans Rôle : Gardien de la pluie (Vongola) (il a aussi des affinités soleil mdr)Provenance de l'avatar : Denki Kaminari - My Hero Academia

tu vas écrire ton physique, n'oublie rien, sinon on mords

Naoki est quelqu'un de dynamique, plutôt enjoué, il voit plus le verre à moitié plein qu'à moitié vide. Dans son esprit très positif, il a du mal à distinguer ses amis de ses ennemis. Il est un peu bête, mais on l'aime pour ça (ou pas). C'est une pile électrique, il a du mal à reste en place. Oh, il est sage en classe, enfin, il en a l'air, mais en vrai, il desine. Il dessine souvent des petits personnages dans le genre Chibi. Il en a un un peu honte, donc, il va jamais les montrer. Protecteur envers ceux qu'il aime, Naoki est capable de beaucoup de choses pour les personne qu'il aime vraiment. Même renie tous ces principes et changer. Ce ne sera pas aujourd'hui qu'il sera comme vous le souhaitez, mais il fera tout pour vous être agréable dans la mesure du possible. Sous ce côté lumineux se cache un côté sombre que serait une lumière sans une part d'ombre. Naoki est quelqu'un d'un peu possessif, il donne assez peu des choses qu'il possède. Même les yeux des chiens battus ne fonctionneront pas toujours. Naoki n'aime pas trop être seul, la solitude l'ennuie profondément. Il est capable de se lier d'amitié avec un peu n'importe qui pour combler ce besoin d'être entouré. Il tentera des approches, mais n'insistera pas trop si vous refusez de façon polie. Fan inconscionnel de la cuisine : Il aime faire à manger, c'est un fait indéniable. Il praprre lui-même ses bentos et corrige parfois ses parents quand ces derniers ciuisine. Il a une cuisine généreuse, il en fait tou jours de trop. Du coup, il partage ses restes avec grand plaisir. Sait dessiner, mais des chibis, il les utilise pour ces notes de cours.

Naoki est né, il y a un moment déjà, seize années ça en fait un paquet de jours, d’heures et de minutes en vrai. Enfant de la ville, il a appris tôt à se faufiler dans la foule en faisant bien attention aux feu rouge. Sa maman était plutôt fier de lui, de ses beau cheveux noirs. Sauf que l’adolescence est ce qu’est. Il a décidé qu’il serait blond envers et contre tout à cette poque. Mais une chose à la fois. Revenons à son enfance, elle est passionnante, enfin pour ceux qui aime s’y pencher. Aîné d’une fratrie de trois enfants, dès son plus jeune âge on a tenté lui faire rentrer dans le crâne la notion de partage. Il le faisait car il ne voulait pas fâche la maîtresse, sinon il n’aurait jamais cédé cette bout de gâteau qui pourtant lui appartenait depuis quelques secondes. Précieuses secondes pour un enfant de trois ans à peine. Il devait déjà partager sa maman avec son petit frère. Selon Naoki, il avait déjà fait beaucoup. Mais non, la pression et le regard des autres l’on fait céder. A ses six ans, il avait une petite sœur, une adorable petite pêche, comme il se plaît à l’appeler. Oh il sait que son frère essaye de le suivre, mais sa petite sœur méritait du calme. Donc en bon aîné, il est souvent parti en vadrouille avec un poursuivant qui lui collait aux basket. Au début, il ne avait pas quoi dire à cette imitation de lui en plus petit. Il ne se souvenait pas avoir été si petit. Il posa doucement sa main dans les cheveux de son cadet. « Pourquoi me suivre, je ne suis pas toujours gentil avec toi. - parce que tu es super grand frère. Tu sais faire plein de choses. Tu crois que quand je serai plus grand je serai comme toi. - Je ne sais pas, mais tu peux essayer petite tête. » Depuis ce fameux jour, il a essayé d’être plus cool avec son petit frère, aussi cool qu’il pouvait l’être avec sa petite sœur. Comme il avait hâte de voir la petite Hana grandir à six ans… Il savait déjà qu’il allait tout faire pour que son frère ne soit pas trop brute avec elle. Il devenait protecteur sans s’en rendre compte. Mais ça, il découvrirait plus tard. Pourtant à ses treize ans, il voulait sortir du lot. Être unique comme il imaginait l’être alors il avait décoloré ses cheveux. Ils sont devenus blonds pour son plus grand plaisir, sauf quelques mèches rebelles. Mais il n’allait pas enlever ça. Ça le rendait encore plus unique. Il sourit, assez fier de son résultat.Il sourit et allait se faire de nouvelle connaissances et ça serait avec ses cheveux blonds que ça plaise ou non, car il avait déménagé dans un petit village. Namimori, le nom semblait paisible, enfin, il savait que la ville ne lui manquerait pas tant que ça. Au moins sa famille serait en sécurité. Son frère, mais surtout sa sœur avait besoin de ce t écart du brouhaha de la capitale. Au final, la seule chose qui lui manquerait, c’était peut-être son skate park. Il n’est pas rare qu’il arrive sur sa planche à roulette personnelle qui est très colorée. Mais contrairement au cliché des gens aux cheveux décoloré au japon, ce n’est pas une racaille et préfère grandement profiter de chaque moment et protéger ses proches. Il ne frappera jamais le premier, mais il n’est pas exclu qu’il rende les coups.