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Penguin Star
12 novembre 2020

Karah

Karah
Information générales
Nom: écrire ici Prénom(s) : Karah Age : 19 ans Provenance de l'avatar : Lance - Voltron the Legendary defender
Physique
tu vas écrire ton physique, n'oublie rien, sinon on mords
Mental
Karah adore rire, parfois c'est à ses dépends. L'auto-dérision est son quotidien. Si bien qu'il lui arrive de perdre le moral. Il dira assez peu quand il est au plus bas moralement. Il préfère garder le sourire et avancer dans la bonne humeur. Franchement têtu, il est du genre à persévérer pour accomplir quelque chose. Il est capable de recommencer une cinquantaine de fois une action juste pour réussir une seule fois. C'est souvent les autres qui le stoppe en l'attachant. Il aime avoir raison, cependant face à des bons arguments, il plie. Observateur, il sera du genre au fil des rencontre à de moins en moins parler pour observer. Il a un assez bon instinct pour ce qui est des gens. Bien que ce dernier se trompe parfois. Curieux modéré, il teste des nouvelles choses si on l'y intéresse. Il peut être doué ou non. Mais tant qu'il ne parvient pas à un résultat potable selon lui... Il ne s'arrêtera pas. Il adore l'eau, si bien qu'il se passe rarement un jour sans qu'il se balade sur la plage ou pêche tranquillement à son post favori. Il rêve souvent d'être un poisson. Ceux qu'il voit lors de ses balades. Des petits colorés comme ils les aiment tant. Paradoxalement, il a une peur bleue de l'orage. Si bien qu'il se cache quand cela arrive. Il tremble de tout son être et pleure. Il rêve de voyager longtemps sur la mer, peut-être voir d'autres îles qui sait. Mais il semble bien moins à l'aise sur une embarcation que l'eau elle-même. Il respecte les gens tant qu'ils ne font pas de mal à l'eau et la nature. Couper un arbre devant lui n'est simplement pas conseillé. Il sait qu'il y a d'autres gens et que certains viennent à peine de débarquer. Il garde ces yeux ouverts face à leur action. Il les juge et va peut-être les critiquer. Mais il restera souriant. Ce qui est problématique quand on veut faire culpabiliser son interlocuteur. Un poil naïf : Il connait que peu de chose de la vie, il garde une certaine candeur qui peut attendrir ou non. Pour lui, l'amour ça se limite aux calins et aux bisous. Sociable dans un certain sens, il s'attache assez vitre aux gens et les considèrent rapidement pour des personnes importantes.
Histoire
Karah ne sait pas vraiment tout ce qui s’est passé lors de sa naissance. Même ses parents étaient un peu évasifs face à cet événement. Tout ce qu’il savait, c’était qu’il était arrivé pendant que les étoiles parcouraient le ciel sombre, un jour plutôt clément. Il ne se souvenait pas de son premier ouragan, trop jeune pour saisir le tout sûrement. Ses premiers souvenirs sont plutôt clairs, il se voit encore petit garçon en train de ramasser les coquillages sur la plage. L’eau chatouillant ses pieds. Il avait trouvé cet endroit beau, vraiment beau. Si bien qu’il eût parlé avec vitesse à sa mère. Cette dernière avait fini par rire avant de lui demander d’approcher. Il s’était sûrement sali lors de son exploration. « Tu as été un petit aventurier aujourd’hui Karah. - Je voulais te faire un collier maman, je sais que tu adores les coquillages. Comme celui sur ton collier. - C’est bien gentil à toi. Mais tu devrais faire attention, l’ouragan est proche. - Je n’ai pas peur. » Elle avait frotté avec force ces cheveux. Elle lui raconta un moment comment il avait fait ses premiers pas. Comment son père avait fini par lui courir après quelques semaines après. Cette histoire le faisait rire. Son père était si grand, comment un petit garçon comme lui avait pu distancer un adulte comme ça. Sa mère lui disait souvent qu’il avait profité de sa taille pour aller dans des endroits étroits. « Maman, tu crois que je pourrais encore distancer Papa ? - Sûrement, tu es sacrément malin parfois. Mon petit garçon est un aventurier espiègle. - Cela veut dire quoi espiègle ? » Et la suite, il s’en souvenait à peine. Mais tout ce souvenir avait le don de le faire sourire. C’était un de ces moments précieux avec sa famille. Ceux avant l’arrivée de ton frère. Ton petit frère que l’ouragan avait fini par lui enlever. Il revoyait clairement la scène. L’ouragan était puissant, si puissant. Et le jeune aîné qu’il état avait tenu du mieux qu’il le pouvait le corps de petit garçon fragile. Sa mère et son père occupé à mettre tout à l’abri l’avait laissé faire. Heureux que la jalousie qui habitait le jeune garçon avait cessé. Il serrait contre lui le petit être. « Tu n’as pas intérêt à partir. Maman et Papa t’aiment beaucoup. » Son petit frère avait babillé quelque chose. Il n’avait pas compris ce que le très petit garçon disait. Sûrement quelque chose sans aucun sens. Sa mère disait souvent que lui aussi avait dit des choses bizarres comme lui. « Tu sais, je peux t’apprendre à parler correctement. Répète après moi. Maman. - Gah ! » Karah n’eut pas le temps de corriger le jeune garçon. Car le vent se fit puissant. Si fort qu’il se sentait presque décoller du sol. Il ne devait pas laisser l’ouragan gagner. Il avait si peur. Si peur. Quand il sentit le temps se calmer, il voulut voir ses parents. Sauf que ça fut le geste de trop. La végétation fragilisé finit par tomber faisant un bruit semblable au tonerre, griffant son petit torse, arrachant de ses bars la jeune vie qu’il tenait. « Tifo ! Tu es où ? » Ses parents n’allaient pas lui pardonné. La peur emportait sur la douleur de ses blessures. Il prit un moment à rejoindre un autre lieu. Ce dernier était en bazar. Peut-être que Tifo était là. Il l’espérait. Il souleva du mieux qu’il le pouvait les débris éparpillés. Mais tout ce qu’il trouvait, c’était le sang, celui qui coulait sans le savoir lui. Si bien qu’il finît par s’évanouir. Tifo… Il n’avait pas été un bon frère. Il ne l’avait pas protégé. Il s’en voulait un peu. Quand Karah retrouvait ses esprits, il vit son père seul. Il avait les traits tirés. Il ne savait pas pourquoi il avait cette tête. « Papa ? - Fiston… Tifo… L’ouragan te l’a pris…. Désolé mon fils. Désolé de t’avoir demandé de le garder… - Papa, tu pleures… » Karah regardait cet homme qui avait été son modèle s’effrondrer. N’écoutant que son courage, il le serra contre lui en souriant. « Je suis là et tu ne risques pas de me perdre. Enfin, je crois… Je suis un petit garçon, et je ferai encore des bêtises. » L’adulte lui frotta les cheveux. « Tu es vraiment un polisson. Tu tiens ça de ta mère. - Maman va bien ? - Elle est partie aider les gens autour d’elle... » Le jeune garçon se leva et prit la main de son père. Il devait rassembler les deux adultes. Il était triste, il était sûr de pleurer dès l’instant où il lâcherait la main de son père. Et cela ne rata pas. Dès que les deux adultes l’avaient lâché, il s’était effondré. Ce petit être avait fini par faire une place dans son cœur. Jamais il oubliera ce moment. Cette peine qui le traversait étant petit, plus visible de celle de ses parents. Marquant ses joues horriblement. La perte de son frère l’a calmé dans ses envies d’exploration. Par contre, il adorait regarder la mer. La mer qui le berçait doucement. Vidant ses pensées et finissait par le faire sourire. Les mois passèrent et la peine diminua. Karah restait un garçon très actif. Mais bien plus prudent. Il adorait faire rire. Il s’était donné le devoir de faire rire son père. Trop sérieux pour lui. Alors, il enchaînait les blagues plus ou moins comique. C’était un jeune garçon, donc ces jeux de mots étaient limités. Pourtant, un d’entre eux fit rire cet adulte qu’il admirait. C’était une histoire de noix de coco dont il était plutôt fier. Après son succès, il n’a cessé de casser les pieds son entourage avec cette histoire. Ils sont rares les gens qui connaissent Karah qui ignore ce récit qui se voulait drôle. Karah grandissait plutôt bien, quand il avait treize ouragans, il avait tenté de grimper, sans grand succès à un palmier. Le jeune garçon avait tellement insisté qu’il avait fini par rendre ses pieds rouges de sang et que son père avait caché ses pieds dans des bandages en grognant. Suite à cet événement, il n’a cessé d’essayer de trouver quelque chose dans lequel il était doué. Il savait pêcher, mais dans une embarcation. Il est tombé tellement de fois dans l’eau qu’il avait fini par râler sur la plage, attaché par son père qui en avait assez de le voir tomber dans l’eau. Il a essayé de faire d’autres choses, mais apparemment, il était plutôt doué de ses mains. Il sculpte avec un petit couteau. Au début, son papa le surveillait, maintenant, il le laisse seul. Enfin, quand il ne tente pas d’incruster des pierres dans ses œuvres originales. Ce qui était dangereux. Ne jamais lui mettre dans la tête que c'est une bonne idée... Jamais. Un jour, il y a eu cet ouragan particulièrement fort. Cet ouragan qui a amené avec lui des personnes différentes. Très différentes. Elles étaient là depuis combien de temps ? Il n’en savait pas plus que ça. Il les avait jamais avant ses quinze ouragans. Peut-être à cause de la fin de ses explorations. Karah les observait de loin, pestant sur les sauvages qui abattait les arbres. Comme si l’ouragan n’était pas suffisant… Il s’approcha de l’un d’entre eux en grognant. « Cessez de maltraiter la nature. - Super un écolo… Fiche-moi la paix gamin. - Le jour où l’ouragan te prendra à cause de toi. Tu pourras que t’en prendre à toi-même. » Il avait haussé les épaules et s’éloignait du jeune homme qui ne cessait d’argumenter pour convaincre cet étranger. Sans grand succès. Car ce dernier agacé avait fini par lui envoyer une noix de coco en pleine figure. Passablement assommé, l’homme était parti. Laissant Karah tout seul. C’est son père qu’il vit en premier après son réveil. Il passait de l’eau sur ses blessures. « Qu’es que tu as fait ? - Je voulais défendre la nature. Un étranger la détruit. - Heureusement certains sont gentils. Sans ce drôle d’animal ne serait pas si heureuse. - Je continue à penser qu’il très moche... » Son père lui frotta les cheveux. Un étranger avait laissé à sa maman un drôle d’animal qu’il n’avait jamais vu avant. Depuis, elle semblait heureuse à nouveau. La disparation de Tifo sûrement dans un coin de sa mémoire. Cette chose qui enloignait sa mère de lui encore et toujours. Son petit frère... Il lui aurait raconté l’histoire de la noix de coco. Il lui aurait appris à sculpter. Et peut-être montrer son coin de pêche. Peut-être. Mais il n’était plus là. C’était trop tard pour regretter. Il préférait garder son sourire. Son sourire qui a plus à beaucoup de personnes. Y compris à ses personnes qu’il observait de loin. Ces personnes qu’il ne pouvait s’empêcher d’admirer et c’est d ‘ailleurs l’une d’elle qui lui ont offert un collier. Ce collier dont il avait un mal fou à se défaire. En dépit de sa longueur plus que gênante. Mais refuser un cadeau, ça ne se refusait pas ? Il a rit et montré à cette personne qu’il était beau avec. Et c’est un peu ainsi qu’il a eu sa première amoureuse… Il a eu d’autres compagnons et compagnes, mais jamais ça ne durai. Il en était triste au début, maintenant, il s’y est fait. Il a compris plus tard que ça pouvait être ça l’amour. Ou l’obsession. Mais que trop, c’était tout sauf bon. Car ça finissait souvent mal. Pour lui ou pour cette personne. Depuis Karah est un plus prudent face aux gens qu’il observe. Il s’est promis de moins tomber amoureux. Enfin, il l’espère. Peut-être qu’avec l’âge ça partirait. Il suffisait de voir les anciens. Ils étaient bien seuls non ? Ou il se trompait. Il a beau savoir des choses, il ignorait aussi pas mal d’entre elles. Il y a d’autres moments avec les voyageurs, d’un naturel peu timide, mais méfiant. Karah a toujours fait en sorte d’être plus ou moins en bon terme avec ces gens avec ces cultures étranges. Il se souvenait parfaitement de ce gars complètement dingue qui voulait absolument une créature des plus étrange en sculpture en bois. Plus il décrivait la créature, plus Karah se demandait si quelque chose du genre existe. Il pouvait être sûr et certain de ses doutes. Il sculptait pour le plaisir, mais aussi pour avoir de quoi vivre un peu près correctement sans l’aide de son père. On lui dit parfois qu’il comptait trop sur cet homme. Pour sa mère ? Il n’arrive plus vraiment à l’atteindre. Elle est trop triste. Ou partie en vadrouille. Le jeune homme est un peu attristé de ça, mais les rires qu’il partage avec les autres lui valent toutes les richesses du monde. C’est pour ça qu’il fait parfois le clown, ou balance ces blagues qu’il trouve très drôle. Quand il est attaché à une personne, il lui arrive régulièrement de sculpter quelque chose pour cette personne de façon totalement désintéressé. Son style d’œuvre plaît ou non. Entre le sauvage et le réalisme. Karah passe des heures à peaufiner les détails, à tel point qu’il s’abîme régulièrement les yeux quand l’obscurité vient doucement couvrir le ciel de sa couverture sombre. Ne voulant pas se couper, il finit par s’arrêter, un peu frustré. Karah est quelqu’un de simple qui vit pour tester des choses inconnues dans la mesure où on titille sa curiosité. Parfois exagérant un peu. Il vit depuis quelque temps dans sa propre cabane, proche de celle de son père. L’artiste y est particulièrement attaché. Il espère que le prochain ouragan ne lui enlèvera pas son seul repère fixe. Il l’espère. Il demande aux divinités de ces lieux de protéger cet homme qui fait beaucoup pour lui. L’ouragan finira toujours par revenir. Il revient toujours, aimant ces terres, comme lui, il aime l’eau.
Et Vous ?
Coucou, moi c'est Pseudo. J'ai ageans. Je suis venu sur forum grâce à ce qui est à l'origine de votre venue. Sinon j'aimerai ajouter que ceci est un moment yolo, pour écrire ce qui passe par la tête. Car on raconter des anneies, ça peut êtragtifiant. Surtouut si on part du proincipe que tout est normal et que la normalité est un concept flou.
Codage par Ruru
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