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Penguin Star
12 novembre 2020

Saphire Manako

Saphire Manako
Information générales
Nom: Manako Prénom(s) : Saphire Age : 16 ans Rôle : Gang (ciel) Provenance de l'avatar : Hiragi-Shinoa Version : Version deux Saphire Maeda
Physique
tu vas écrire ton physique, n'oublie rien, sinon on mords
Mental
La jeune fille ramasse une chaussette verte et sourit. Elle découpe des dents dans une feuille qui traîne, faisant fit qu’il s’agissait d’une feuille lignée qu’elle utilisait en cours. Elle enfile la chaussette sur son bras droit avec un fin sourire. Elle colle la dent et fait des yeux rapidement avec un marqueur noir. Indélébile. Donc une douce odeur se dégage. Ou pas. Elle sourit. « Lia, comment vas-tu ? - Tu viens de me créer avec une chaussette puante ? Comment veux-tu que je me sente ? - Fromage, je dirais deux ans d’âge. - Tu te crois maligne à me taquiner ? Je ne suis qu’un vêtement oublié. T’en prendre à moi, tu es bien cruelle. - Mon dieu, mais dis-moi... Qu'est que tu sais de moi. - Bon, si c’est moi qui dois m’y coller soit… Mais tu me laisseras la vie sauve ? - Peut-être… - Rassurant, Bon, premièrement, tu aimes faire ce que tu veux et dire n’importe quoi. - Je ne dis pas n’importe quoi ! - Tu me laisses parler ou tu vas m’interrompre toutes les cinq secondes ? » Elle hausse l’autre main en signe de reddition à sa marionnette dont elle prêtait sa voix de ventriloque. « Comme je disais, elle est chiante, elle taquine pour un oui ou un non. En plus, ses phrases sont fantasques. Elle est loin d’être totalement bête, elle est même douée dans un certain sens. Si ça l’amuse de répondre à côté, elle le fera. Ses parents lui parfois dessus, mais les écoute t-elle ? Bonne question, ça dépends, mais généralement, elle fait qu’ils demandent. Le résultat dépendre de son implication. Malgré son côté grand enfant, elle sait être sérieuse. Mais ne l’ayant pas vu encore. Je ne peux que croire mon impression. Peut-être que je me trompe. Elle est un mystère à elle seule. Ou pas. Par contre, je dois dire qu’elle a un bon sens de l’orientation. Elle a beau être dans la ville, il y a peu, elle a trouvé rapidement les commerces qui l’intéressaient. Elle aime porter des vêtements mignons, comme le prouve le ruban qu’elle a dans ses cheveux. Ils sont naturellement violets ? - Lia, je ne vais pas révéler mon secret maintenant. - Tu penses à quel secret précisément ? Car tu en as un tas. La vérité, tu connais ce concept, ou c’est un pokémon rare Shiny ? - Je sais dire le vrai et le faux, mais reste à savoir quand je passe de l’un à l’autre. - Avec ton visage, parfois, c’est difficile à croire. Tu as des amis ? - Oh, quelques-uns, mais tous ne sont pas là. D’autres ont rejoint les cieux. Je vous aimais… - C’est ça, et mon derrière, c’est du cent pourcent coton. - J’ai ramassé une chaussette de qualité, on dirait. - Comme vous pouvez voir, elle est un peu lunatique, folle, je dirai même. Mais je dois dire qu’elle prend soin de ses affaires. On se demande comment tu m’a trouvé d’ailleurs. - Papa a laissé traîner ses affaires… - Il est au courant qu’il risque de se prendre les pieds dans ses affaires à force ? - Mais c’est pour ça que je range ? Je n’ai pas envie qu’il se blesse mon petit papa. - Pour être petit, il l’est. Mais tu es protectrice. Voilà qui me surprends. En plus de savoir ranger. - J’ai un cœur, je ne suis pas un monstre. Et ranger, je le fais de façon pratique... - Contente de l’apprendre. Donc tu es créative, si j’en juge ma naissance. - Oui, tu es mon douzième enfant. Je te présenterai à tes frères et sœur. - Oh par les crocs de Schnapi. - Deisne kleine Krokodile ! - Non stop… - Bah quoi ? - Tu vas la mettre en tête... » Les minutes suivantes la jeune fille chante en allemand la chanson à chaussette qui semble se tordre de douleur. C’est clairement amusant pour elle de faire semblant que la chaussette vivait vraiment. Certains diront qu’elle n’a pas la lumière à tous les étages, mais elle est surtout elle-même n’en déplaise aux gens. En classe ? Elle se révélera soit géniale ou un cancre.
Histoire
Il était une fois, un petit être né il y a de ça des années. Dans la préfecture Shimane au grand bonheur de sa famille. Elle était attendue. Pour sûr, ces parents avaient tenté diverses manières de la concevoir. Mais une bonne fée a fini par se pencher sur leur couple pour leur offrir un enfant. Une âme qui déjà riait aux premières minutes de sa vie. « Comment on la nomme ? - Sakura ? - Non, je préfère Saphire, ça me rappelle ces jolies pierres précieuses. - Comme tu veux ma chérie. C’est ainsi que les deux adultes étaient tombés d’accord sur le prénom. La mère de cette jeune âme avait toujours aimé la culture française, du coup, elle avait fait en sorte qu’un peu de ce pays lointain se retrouve un peu dans son enfant. Même si pour ça, elle devait un peu oublier les traditions du Japon. Si bien, c’est à six ans que la jeune demoiselle mis pour la première fois dans un Matsuri. Le festival était beau, vraiment beau pour la petite fille, elle voulait tout essayer, tout tester. Si bien qu’elle a dû s’arrêter à la moitié de l’allée sur un banc. La nourriture était bonne, les jeux étaient particuliers. Qui avait eu l’idée d’attraper un poisson avec une cuillère de papier. Tout ça pour avoir la chance de ramener un de ces animaux chez soi. La jeune fille aurait bien voulu parvenir à ramener un animal. Mais pas sûr que ses parents soient ravis. Par contre, son père lui offrit quelque chose. Un objet qui aujourd’hui dans la chambre de la jeune femme à en devenir est suspendu au mur. Il s’agit d’un masque qui représentait un Kitsune. Est-elle devenue pour autant fanatique des renards ? Oui et non. Si elle devait citer une créature préférée. Ça serait le chat. Mais nous nous égarons. Non, je ne parle pas de voiture, Saphire, pas besoin de demander à se pauvre homme de dégager sa voiture. Je te vois avec ce sourire… Saphire ! Reprenons… En tant que japonaise élevé à l’Européenne, elle a été souvent perdue dans ce qu’elle devait faire ou non. Son école disait que c’était mieux de garder une distance avec les gens. Ne pas être tactile. Son éducation disait que faire la bise n’était pas mal. Pareil pour les câlins. Ce qui fait que la jeune femme s’est retrouvé plus d’une fois avec des punitions parce qu’elle avait fini par attraper un peu trop ses camarades de classe. S’était-elle calmé aujourd’hui ? Ça reste à prouver. Certains diront que oui, elle parle bien. Quand elle ne te taquine pas du moins. Et elle ne touche personne, enfin ce n’est pas ce que raconte son strap. Mais ça, c’est une autre histoire. Elle a vécu une bonne période dans la préfecture de Shimane, ce qu’elle préférait, c’était le tapis de fleurs. Combien de fois avait-elle pris le bus pour observer ce tapis de fleurs qui s’entendait sur de longs mettre. Il y avait bien aussi quelques temples et endroit typique que les rares touristes visitais la région. Mais l’endroit n’était pas hyper prisé de base. C’est ce qui faisait sûrement son charme. Pourtant vint le jour, où sa vie presque tranquille, changea, le jour maudit. Celui du déménagement. Voir les bâtiments, manger des croissants, ça avait un prix. Et celui fini par toucher les pauvres économies des parents de la demoiselle. Comment était-ce possible. Son père fume t-il ? Si oui, elle aurait dit la moquette. Mais sinon, parfois des pieds. Ce qui explique pourquoi Lia pue un peu. Mais elle aime bien Lia, c’est troisième chaussette favorite, après Elizabeth et Yoseph. Elizabeth et sa première marionnette fait à partir de chaussette. C’était une rose avec des fleurs. Yoseph, c’est une chaussette à sa maman. En vérité, c’est un reste de collant, mais la jeune fille qu’elle était à l’époque s’était attaché à ce collant détruit par le temps et les accident divers et varié. Bref Yoseph a du vécu. C’est ce qui fait son charme. Son père avait eu l’intention de faire de Namimori son nouveau point de départ. Pourquoi ? Elle lui avait posé la question, mais elle a oublié. Peut-être, c’était à cause de son entreprise. Mais il vendait quoi au juste son papa. Attendez deux minutes. Ça être simple à raconter. Pour être précis. Son papa travaille comme vendeur dans un magasin. Un combini, non, ce n’est pas ça. Un magasin de farce et attrapes, tu parles, elle aurait fini pour prendre des articles comme ça, juste pour rire. Il travaillait dans un magasin d’antiquité. C’est un peu la loose. Mais elle aimait parfois, elle emporte une poupée parce qu’elles sont un poil creepy. Parlons de Namimori et de ses groupes de l’ombre. Comment-elle rentré dans ce monde. Parce qu’elle trouve ça amusant. Et puis au moins, elle était un peu plus au courant de ce qui se passait en ville. Les secrets pouvaient se reposer, mais il y avait toujours des yeux et des oreilles pour les connaître. Saphire voulait en faire partie, parce qu’avec de bonnes informations, elle pourrait s’amuser encore plus. Certains diront qu’elle cessé de grandir ou de mûrir. Va savoir. Oh, elle est parfois sérieuse, mais peu de personnes l’ont vu. Bon, il y a sa famille, mais ça compte pas vraiment. Ils l’ont vu grandir physiquement et aussi prendre ce chemin. La seule chose qu’il demandait en retour ce qu’elle soit heureuse et qu’elle ai un métier qui rapporte. Pour le deuxième pan, elle a encore du temps. Puis son travail comme livreuse est sympa. Elle peut parfois manger à l’œil. Elle livre comment ? À bicyclette, pardi ! Elle avait trouvé ce travail au hasard en se baladant en ville. Depuis, elle se balade souvent en ville avec son vélo et le sac de l’entreprise qui lui sert d’excuse pour partir à l’aventure des ruelles… La rentrée a eu son lot d’éventements, curieuse, elle a regardé ça avec un intérêt certain. Elle ne sait pas ce qu’est cette magie pour se retrouver à moitié nu, mais elle trouve ça comique. Si ça lui arrive, au moins, elle serait magnifique. Elle porte de joli ensemble en dentelle. Elle est sexy avec non ? Vous ne pensez pas ? Roulade arrière
Codage par Ruru
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